Ce mardi 8 novembre sera la 1ère journée des
« négociations » officielles sur le futur régime d’assurance-chômage
dont les annexes 8 et 10 (intermittents du spectacle).
style='font-size:18.0pt;font-family:Arial'>LA COORDINATION NATIONALE DES
INTERMITTENTS ET
PRÉCAIRES APPELLE A RASSEMBLEMENT ET ACTIONS, mso-border-alt:solid windowtext 2.25pt;padding:0cm;mso-padding-alt:1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt'><font
style='font-size:24.0pt;font-family:Arial;color:teal'>MARDI 8 NOVEMBRE À
14H mso-border-alt:solid windowtext 2.25pt;padding:0cm;mso-padding-alt:1.0pt 4.0pt 1.0pt 4.0pt'><font
style='font-size:18.0pt;font-family:Arial'>RDV DEVANT LE MEDEF,
55 AVENUE BOSQUET (M° ÉCOLE
MILITAIRE)
<font
style='font-size:10.0pt;font-family:Arial'>Alors que le rapport de Jean-Paul
Guillot, expert gouvernemental chargé de préparer le protocole <font
class=SpellE>Unédic à venir, vise à diminuer de manière importante le
nombre d’intermittents du spectacle par une politique de l’emploi culturel
inadaptée aux pratiques réelles de travail et d’emploi (restriction du
périmètre), alors que ce même rapport suggère que « le seuil
d’affiliation soit progressivement relevé » (550h., 600h. ... au lieu
de 507h.?), les « négociations » de la convention Unédic
commencent. Un nouveau protocole régissant l’assurance-chômage des
intermittents du spectacle doit être négocié avant le 1er janvier
prochain.
font-family:Arial'>Cette négociation entre partenaires « sociaux »
utilisera encore une fois l’arme du déficit pour durcir l’accès aux droits et
les réduire.
font-family:Arial'>Le gouvernement devra agréer la prochaine convention pour
qu’elle entre en vigueur. Comme le montrent le contrôle renforcé des chômeurs,
l’annonce d’une « réforme » du RMI ou la politique fiscale
profondément inégalitaire qu’il met en oeuvre, il a
pour l’heure clairement choisi de faire porter sur les salariés, chômeurs, précaires
et intermittents, le poids du chômage de masse et de l’emploi précaire ou
discontinu.
<font
style='font-size:10.0pt;font-family:Arial'>Le gouvernement évoque
l’ « incitation au travail » pour refuser que soit assuré le
droit à une continuité de revenu et éviter de payer le prix d’une production
flexible que l’Unédic finance actuellement en partie
(et si chichement...), dans la culture comme ailleurs : on dénombre, par
exemple, 720 000 chômeurs employés en « activité à temps réduit »
(mal) indemnisés, comme des centaines de milliers d’intérimaires et de
saisonniers, par cette institution. Lorsqu’on nous dit que l’<font
class=SpellE>Unédic doit « cesser de financer la culture »,
faut-il en déduire que cette institution ne doit plus financer la production de
logements et d’infrastructures par l’entremise du versement d’allocations à des
salariés du BTP ? Faut-il que les salariés à l’emploi discontinu se voient
privés de droit, à l’instar de la situation inacceptable faite aux chômeurs
dont moins de la moitié perçoivent actuellement une allocation ?
avant qu’il ne soit trop tard, le 1er janvier 2006 ne doit pas être un 27 juin
2003.
font-family:Arial'>Avec les organisations de chômeurs, de précaires,
d’intermittents et des structures syndicales, soyons présents nombreux et
déterminés pour porter nos propositions et agir.
<font
style='font-size:13.5pt;font-family:Arial'>Faites le savoir sur les lieux de
travail et ailleurs, le succès de la mobilisation en dépend !<font
style='font-family:"Arial Unicode MS";mso-fareast-font-family:"Times New Roman"'>
font-family:Arial'>Pour les lieux de travail, de passage, le(s) public(s), les
collègues, les amis, le tract « Assurance-chômage : les négociations commencent ! » est disponible à la coordination.
14 quai de la Charente 75019 Paris (M° Corentin Cariou) / 01 40 34 59 74
http://www.cip-idf.org
font-family:Arial'>Permanences CAP (Conséquences de l’Application du Protocole) : lundi de 14h à 17h et jeudi
de 17h à 20h .Chèque de soutien à l’ordre de l’AIP