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Agression de journalistes : le SNJ-CGT de France 3 ajoute sa plainte à celle de France 3

Publié, le dimanche 16 mai 2004 | Imprimer Imprimer |
Dernière modification : lundi 17 mai 2004


Agression de journalistes : le SNJ-CGT de France 3 porte plainte

AFP | 17.05.04 | 13h52 Le SNJ-CGT de France 3 a porté plainte dimanche pour « violences préméditées et atteinte à la liberté de la presse », avec constitution de partie civile, après l’agression d’un journaliste de France 3 par des policiers samedi à Cannes, a annoncé le syndicat lundi.

Cette plainte s’ajoute à celle déposée dimanche par la direction de France 3 au commissariat central de Cannes. La chaîne a porté plainte pour « l’agression dont a été l’objet » son journaliste reporter d’imagesGwenaël Rihet samedi, alors qu’il couvrait une manifestation d’intermittents du spectacle.

Le SNJ-CGT de France 3, qui a aussi déposé sa plainte au commissariat de Cannes, a en outre « interpellé (lundi) matin par courrier le ministre de l’Intérieur » Dominique de Villepin, a ajouté le syndicat dans un communiqué.

« L’enquête menée (dimanche) à Cannes par le SNJ-CGT, les nombreux témoignages recueillis auprès de confrères et consoeurs présents lors de cette agression, laissent penser que les forces de l’ordre avaient reçu des consignes pour s’en prendre de manière évidente aux porteurs de caméras, afin qu’aucune image des brutalités exercées contre les manifestants ne soit diffusée », affirme le syndicat.

Réclamant des « sanctions exemplaires », le SNJ-CGT de France 3 juge « impossible de croire que les comportements » des forces de l’ordre « n’aient été dus qu’à l’initiative des policiers de terrain » et souhaite que toute la lumière soit faite sur les responsabilités « à quelque niveau que ce soit ».

Evoquant des « preuves filmées et témoignages », le syndicat estime qu’« au-delà de l’agression, c’est bien d’une atteinte délibérée à la liberté de la presse dont se sont rendus coupables ces fonctionnaires » de police.Plusieurs journalistes, dont Gwenaël Rihet, qui a passé une nuit à l’hôpital, et une journaliste de l’AFP, ont été molestés par des policiers, samedi soir à Cannes, lors d’une manifestation d’intermittents.


Caméraman agressé à Cannes : France 3 porte plainte

16/05 15:06 France3 France 3 a porté plainte au Commissariat central de Cannes après l’agression d’un de ses journalistes.

Gwenaël Rihet « a été mis à terre et blessé par un représentant des forces de l’ordre alors qu’il filmait la manifestation des intermittents devant le commissariat de Cannes », a indiqué la chaîne.

France 3 demande « que toute la lumière soit faite sur de tels agissements afin qu’elle puisse remplir sa mission dans des conditions normales ».

Le préfet des Alpes-Maritimes, Pierre Breuil, a annoncé des mesures disciplinaires contre deux policiers auteurs de violences contre le journaliste de France 3.

Source : France 3


France 3 porte plainte pour l’agression de son JRI à Cannes

16/05 12:15 AFP La chaîne publique de télévision France 3 a porté plainte au Commissariat central de Cannes pour « l’agression dont a été l’objet » son journaliste Gwenaël Rihet samedi alors qu’il couvrait une manifestation d’intermittents du spectacle, a indiqué dimanche à l’AFP la direction de la communication de la chaîne.

M. Rihet « a été mis à terre et blessé par un représentant des forces de l’ordre alors qu’il filmait la manifestation des intermittents devant le commissariat de Cannes », a indiqué la chaîne.

« Il a été blessé (quatre points de suture) et sa caméra détériorée », proteste la direction de France 3, dénonçant « un manquement grave (qui) remet en cause la sécurité du travail des collaborateurs de la chaîne ». France 3 demande « que toute la lumière soit faite sur de tels agissements afin qu’elle puisse remplir sa mission dans des conditions normales ».

Gwenaël Rihet, qui a passé la nuit à l’hôpital, filmait un rassemblement de quelques dizaines de personnes devant le commissariat pour demander la libération de six personnes interpellées en fin d’après-midi lors d’incidents dans un cinéma cannois occupé par les intermittents du spectacle et précaires.

Lorsque les forces de l’ordre - CRS et policiers en civil - sont intervenues pour disperser les protestataires plusieurs journalistes, dont une journaliste de l’AFP, ont été molestés.

Gwenaël Rihet, qui tenait sa caméra à l’épaule, a été jeté à terre et menotté avant d’être emmené au commissariat, tandis que son appareil était jeté à terre, a constaté la journaliste de l’AFP.

Le sous-préfet de Grasse Claude Serra a affirmé dans la nuit qu’« une enquête la plus transparente possible serait diligentée » sur les événements.

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